Son écriture
Les idées me viennent en général soit de ma propre vie, mes souvenirs et mes expériences, soit de mes passions et, en l’occurrence pour La fin du parti royaliste et Le messager, c’est l’Histoire.
L'auteur
Comment naît chez vous l'idée d'un nouveau roman ?
Vous écrivez tous les jours ?
Oui, j’écris tous les matins de 7h30 environ à 11h30. J’écris sur un ordinateur sur traitement de texte. Mon écriture est illisible donc je m’interdis la plume.
J’aime me balader dans les rues de Paris. Cette ville m’inspire beaucoup. La forêt aussi m’attire énormément, j’y apprécie son calme, son mystère, sa vérité. Bien évidement, je lis beaucoup, j’écoute chaque jour de la musique, je suis un peu pianiste. J’aime aussi le cinéma. Toutes les formes d’art sont pour moi de formidables moments de détente et de découverte. Pour ce qui est des gens, être avec ma famille et mes amis très proches. Je jardine aussi un peu car je trouve cette activité très apaisante.
Que faites-vous lorsque vous n'écrivez pas ?
Le roman d’introspection, je pense. Bien évidement, j’ai une façon de construire mes livres qui est volontairement classique et populaire, sans être populiste.
A quel genre littéraire estimez-vous appartenir ?
Oui, car je fais partie de ceux qui pensent que l'enfance façonne en grande partie l'adulte. Malgré les années, jamais nous ne quittons ses rives. Tout se joue dans les seize premières années de la vie. Après, nous survivons.
On sent que l’enfance chez vous, et les blessures de jeunesse en particulier, sont deux de vos obsessions.
Que mes livres touchent mes lecteurs. Quand ils me disent qu’ils ont vraiment ressenti ce que j’ai voulu faire passer. Pour le reste, j’aime parler des choses qui me passionnent et qu’en retour on me dise que j’en ai bien parlé.
Quel est le meilleur compliment qu'on puisse vous faire ?